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 Love Hina

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esca2008
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Navis
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Navis
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MessageSujet: Love Hina   Love Hina EmptyVen 1 Avr à 21:14

Bon comme j’ai eue un peu de mal à dormir cette nuit, j’en ai profitée pour lire cette série dont le nom m’avait déjà titillée les oreilles. (C’était ça ou je réveillais tout le monde à coup de violon, ce qui m’aurait value un séjour forcé sur le balcon par mes proches… expérience déjà vécue une fois grâce à quelqu’un ici !!! POUKRAM >_<). Pour ma seconde série, il s’agit cette fois de la version papier que j’ai empruntée dans la collection de Firion. Je tiens à préciser que cette critique est réalisée en collaboration avec Firion (ou plutôt basée et largement inspirée de ses notes sur la série) pour de nombreux éléments (C’est pas en 2 séries que l’on devient une pro du manga ^_^), et que j’ai essayée de rester la plus neutre et précise possible au risque de faire sauter au plafond plus d’un, voir de risquer un ban définitif de tout les forums… ^_^

Résumé de Scans World :

Keitaro Urashima vient de rater pour la deuxième fois son examen d'entrée à l'université de Todai. Il doit se trouver un job. Heureusement, sa grand-mère Hina lui lègue sa place de responsable dans une pension de famille occupée par des jeunes filles toutes plus excentriques les unes que les autres... Keitaro va-t-il réussir à concilier son travail avec sa vie d'étudiant ? Comment va-t-il réagir face à toutes ces jeunes filles ? Et, surtout, arrivera-t-il à tenir la promesse qu'il fit à une petite fille de son âge de rentrer ensemble dans cette prestigieuse université afin de couler des jours heureux ?


Le cahier de doléance de l’amie Navis est presque le même que la dernière fois : en plus du problème au niveau du sens de lecture que je commence à maîtriser, cette fois le plus embêtant fut de commencer par la fin du livre… (Pourquoi il y en a qui se compliquent la vie quand ils font un livre??). Ma première réaction concerne le fait que le papier soit différent de ceux utilisés en général pour les BD… mais bon l'édition de Pika me semble assez impeccable, l’ouvrage est très soigné sur tous les plans, des planches sans bavures entre autre… Mais je reviendrais sur les graphismes de la série un peu plus tard.

Alors qu’il n’était pas plus haut que trois pommes, Keitaro Urashima fit la promesse devant sa petite amoureuse qu’ils se retrouveraient tous deux à Todaï, la plus réputée des universités du Japon, et qu’ils y seraient heureux ensemble, parce que la légende veut qu’il en soit ainsi. Quinze années plus tard, désespérément sans copine, il s’acharne à passer le concours d’entrée et pour tenir sa promesse et y retrouver la fillette qu’il a perdue de vue depuis cette promesse. N’est-ce pas touchant ? (Limite un peu mièvre au goût de certains mais bon ^_^). A la suite d’un second échec à l’examen d’entrée, Keitaro est expulsé de chez lui. Pensant pouvoir être accueilli dans l’établissement de sa grand-mère, la pension Hinata, quelle n’est pas sa surprise de constater que le foyer s’est transformé en un dortoir exclusivement réservé aux filles. D’une maladresse maladive, Keitaro passe vite pour un pervers détestable, et manque de se retrouver à la rue. Jusqu’à ce que sa grand-mère le nomme à la direction de la pension… Mais la fille de la promesse n‘est telle pas plus proche de lui qu’il ne se l’imagine ??

Bon le décor est planté, l’intrigue tient en 3 lignes et les personnages font leur apparition sur le devant de la scène pendant un marathon de 14 volumes, dont tout le monde se doute méchamment de l’épilogue. Love Hina est donc un mélange d'histoire romantique et de comédie: l'histoire est une succession de situations douloureuses pour le pauvre Keitaro. C'est un garçon peu sûr de lui et plutôt introverti. Alors quand un jeune homme comme lui se retrouve dans un dortoir de filles, il n'est pas du tout à l'aise et fait gaffes sur gaffes. De l'autre côté, nous avons cinq filles toutes très différentes. Chacune de ces filles n'a qu'un seul but : rendre Keitaro fou. Le sujet n’est en effet pas sans faire penser à ce que je regardais le mercredi matin à l’époque de Bernard Minet et de l’amie Dorothée avec Juliette Je T’aime, et le style humoristique me rappelle également la série Ranma ½ (Encore des comparaisons avec des séries vieilles de 20ans je sais… Faut que je renouvelle mon catalogue !! >_<).

Le don incroyable de Keitaro qui consiste à se fourrer dans des situations très peu confortables à longueur de journée va vite lui poser problème pour la cohabitation. Il suffit parfois simplement qu’il entre dans une pièce pour se retrouver nez à nez avec une fille en train de se changer : cette dernière va moyennement apprécier l’idée de se faire reluquer par ce champion de la lose attitude, catalogué comme un pervers irrécupérable… Du coup, il n’est alors pas rare de voir le pauvre Keitaro subir un tabassage en règle après chaque situation embarrassante, ce qui va devenir le principal gag au fil des volumes (Poukram une étoile filante !!! ^_^). On se demandera parfois même si Keitaro est immortel tellement les pensionnaires sont « tendres » avec lui dans leurs sentences… (Surtout Naru !!). C’est la base de cette série, pétrie de bonne humeur, truffée de gags, et menée sur un rythme d’enfer.

Le côté Vénus de la série est dominé par la figure de Naru Narusegawa, étudiante superbrillante (Ca me rappelle quelqu’un, non ?), et incroyablement belle dès lors qu’elle quitte ses lunettes (et aussi incroyablement myope du coup !). Fille décidée, sauf pour ce qui concerne ses sentiments, elle aussi tente d’intégrer Todaï. C’est d’ailleurs peut-être elle la fille de la promesse, car la question évolue au fil de l’histoire alors que les souvenirs s’affinent et que l’enfance remonte à la surface. C’est également la pensionnaire avec qui il a le plus de «contacts» avant chaque mise en orbite. Leur duo est perturbé par l’introduction d’un troisième personnage, qui apparaît plus tard dans la saga : Mutsumi Otohime, fille fragile, grande amatrice de pastèques et de tortues…

Le fil conducteur, la relation entre Keitaro et Naru (centre de nombreux Triangles amoureux), se perd très souvent dans des banalités ou des impressions de déjà vu, noyé parfois dans des histoires annexes s’intéressant davantage à la dizaine de personnages secondaires (Motoko ou Sû par exemple), et peine à revenir dans un cadre plus sérieux. Résultat, cette comédie romantique prend parfois des allures d’un manga d’action ou d’aventure… Les évènements quand à eux sont du délire complet : Sû, seize ans, crée des robots futuristes, Seta lutte contre une organisation secrète et finit par entraîner les protagonistes dans une course-poursuite en dirigeables, parodie de films comme Indiana Jones, Keitaro se met à rêver pendant ses examens, etc. Et s’ils sont là pour faire rire, ce sont aussi eux qui font avancer l’histoire : le parfait exemple étant l’irréaliste scène ou Keitaro revêt une combinaison d’invisibilité pour savoir ce que Naru pense de lui.

Malgré cela, l’histoire n’avance pas beaucoup, voir péniblement, et menace à la longue de lasser le lecteur, le côté répétitif de l’humour et des situations n’aidant vraiment pas. Chaque volume se ressemble d’une façon ou d’une autre, et la légèreté du thème abordé, bien loin de la réalité, pèse encore sur l’intérêt très instable du manga. Bien heureusement, il parvient à rester à un niveau suffisamment élevé pour laisser persister l’envie d’aller jusqu’au dénouement, avec l’espoir d’un regain d’inventivité dans les derniers volumes. Par moment j’ai eue l’impression de me retrouvée dans un « sitcom » : un genre de Friends japonais où l’humour est plus important que les rares scènes sentimentales…. Lorsqu’une situation « clée » de l’histoire est sur le point de s’enclencher, l’auteur fuit habilement, et utilisant les cordes du délire et des exagérations évite les situations redondantes et larmoyantes. Ce fil court sur plusieurs volumes, et il est loin d’être le seul, même s’il est le plus structurant. L’auteur joue avec le feu en soulevant des situations d’historiettes banales, mais il a un réel talent pour leur donner un sel et une ampleur totalement déconcertantes.

Si le premier volume est un peu déconcertant de ce point de vue là, Keitaro empilant les gaffes et les contres coups avec une obstination des plus légendaires, la mayonnaise finit par prendre à partir du deuxième volume et le lynchage répétitif arrache enfin un sourire (surtout celui menée par Naru). L’évolution des protagonistes, et le développement des personnages annexes y sont peut-être aussi pour quelque chose. Chaque pensionnaire affiche sérieusement un grain de folie, et en devient plus ou moins attachant. Je citerai de préférence Shinobu, la pré-adolescente un peu émotive, et Sû la jeune étrangère survoltée ; mais il est tout de même heureux de voir arriver de nouvelles têtes pour relancer l’intérêt alors que le côté réitératif du manga reprend le dessus. Je pense entre autre à Mitsumi Otohime, l’alter-ego de Keitaro en terme de maladresse et de redoublement, fragile et naturelle tout en étant très directe, associée à la petite tortue volante Tamago qui en devient une sorte de mascotte très étrange.

Le style graphique est en progression constante au fil des volumes par l’allure fantaisiste que prennent les violences « affectives et physiques » infligées à Keitaro. Les traits et le dessin en général sont assez variés et bien utilisés : Love Hina se présente comme une suite de mouvements en continu, de plus les transitions entre les lieux et les situations peuvent être présentés en deux modes : le mode normal présent la plupart du temps et le mode en accéléré (ou mode "n’importe quoi" fait de coups de poings, tortues mécaniques, passages secrets, déguisements sortis d’on ne sait où, etc...). Au premier mode correspond un dessin classique comme dans n’importe quelle BD, au second un dessin plus cartoonesque, avec des explosions, des postures improbables, etc...

Le gros point fort de l’auteur, Ken Akamatsu, réside (il faut l’avouer) dans son talent pour dessiner les jeunes filles, qu’elles soient légèrement dévêtues (un érotisme plutôt sage) ou alors dans toutes sortes de tenues (Petite parenthèse : je ne sais pas si c'est parce que je suis une fille mais cet amas de petites culottes et de contre plongés toutes les 5-6 pages ne m'ont pas du tout émue! On sent bien là le « fanservice » destiné au public masculin ^_^). Par moment la morphologie des pensionnaires est très très fine, presque longilignes, ce qui m’a fait penser aux personnages féminins du DA Albator (Poukram encore une relique je sais ! ^_^). L’auteur sait donner à Naru des expressions très variées selon qu’elle est énervée ou alors rêveuse (ses deux principales attitudes.) La finesse et l’élégance du dessin donnent lieu à de petites merveilles de spontanéité qui donnent une épaisseur réelle au caractère des personnages. Les physiques des personnages sont variés, de Naru aux longs cheveux à Kitsune la renarde, coiffée à la garçonne. Shinobu est présentée avec des vêtements souvent sombres et de coupe "classique" afin de souligner son caractère de collégienne sage. Parfois, un personnage passe par une évolution temporaire comme Sû les soirs de lune rouge, ou alors Keitarô lorsqu’il est bronzé. De même la relation Naru avec lunettes/sans lunettes est à la fois très espacée, et immédiatement perceptible. D’ailleurs les évolutions physiques donnent aux personnages une évolution psychologique qui leur ajoute une dimension : Keitarô bronzé agit de manière bien plus sûre de lui, contrairement au gaffeur habituel.

En regardant la mise en scène, j’ai eue l’impression que l’auteur s’amuse avec une maison de poupée aux décors immuables ? (A cause de la garde robe variée des pensionnaires ou de mes souvenirs d’enfance ?). D’après les notes de Firion l’auteur disposait d’un assortiment réutilisable de dessins de la pension sur lequel il greffait l’action. Cette mise en page est à peu près correcte à mon goût en général, mais elle devient carrément bordélique quand on passe au mode « n’importe quoi » ^_^. Les personnages que l’auteur dirige uniquement selon son plaisir, me fait penser à la mise en scène d’une comédie de boulevard, dans une sorte de jeu, un délire similaire à un humour par l’absurde, de ce qui fait l’essence du cartoon : regarder en observateur extérieur le ridicule et l’auto - dérision d’une situation. Aucune volonté ici de construire un système bien ordonné, au contraire, tout le jeu consiste à ne pas en cacher les faiblesses, même de les montrer, pour créer une ambiance dans laquelle le lecteur puisse rire du grotesque des situations.

Parmi les reproches que je pourrais formuler, c’est le fait que l’auteur aurait pu facilement raccourcir le nombre de tomes sans modifier l’intérêt principal : 14 tomes c’est un peu long. On peut y voir là un intérêt typiquement commercial : L'auteur a quand même réussi le tour de force de faire durer sa série 3 ans et de réaliser 14 tomes alors que l'intrigue de départ se résume en 3 phrases. Même si l'humour est présent, cela aurait été une bonne idée de varier un peu car les gags sont récurrents, plutôt lourds parfois et hyper téléphonés, et ce dans chaque album. Ils sont tous basés sur le même quiproquo idiot : le héros est pris pour un vilain pervers par les jeunes filles parce que le pauvre est tellement maladroit qu’il se met dans des situations ambiguës et compromettantes. J'ai parfois eue l'impression de lire plusieurs fois le même album (j'exagère à peine).

Cette fibre comique semble être un prétexte à l’auteur pour multiplier les phases un peu dévêtues avec une certaine ténacité : on a l’impression par moment que la série est avant tout basée sur la représentation à outrance de nymphettes aux longues jambes et aux proportions de rêves (l’auteur ne manquant aucune occasion pour les dénuder), dont la principale occupation est de comparer la taille de leurs seins lorsqu'elles prennent leur bain toutes ensemble en plein air. Comme elles sont mineures pour la plupart on pourrait presque dire que c'est pesant, voire malsain! Comme je l’ai dit plus haut, on sent bien là le « fanservice » destiné au public masculin.

Selon moi Love Hina tient en cela : une série agréable et légère, conçue avant tout pour faire passer un bon moment, se divertir. C’est une jolie boite avec une belle forme, de belles couleurs, mais creuse quand on en regarde l’intérieur.

Arrow Arrow Cf. Suite.....


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Navis
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 1 Avr à 21:14

La Suite et Fin (Désolée ça veux pas tenir sur 1 post cat ) Arrow Arrow

Mais cela on peut l’appliquer à la première lecture… Lorsque l’on regarde de plus près, on peut y voir une parodie de la vie quotidienne des jeunes japonais, et une remise en question de la définition du bonheur à notre époque actuelle. De l’étudiante acharnée à la kendoka, les pensionnaires d’Hinata représentent différents stéréotypes de la jeune japonaise : Naru est la bosseuse acharnée, Shinobu la jeune fille timide et excellente cuisinière, sorte de vision de l’épouse idéale, Sû l’étrangère hyperactive, Kitsune est la femme ratée, chômeuse qui boit et qui joue, Motoko est la fille super sérieuse qui se doit de suivre les traditions ancestrales de sa famille, quant à la soeur de Keitarô elle est amoureuse de son frère et présente un autre complexe suffisamment fréquent au Japon pour qu’on parle de "Brother complex" comme d’un phénomène identifié! Mais les situations également traduisent un souci d’ancrer cette histoire dans un fond réaliste : Keitarô qui travaille extrêmement dur pour préparer son concours, dans un pays où l’entrée à l’université est loin d’être aussi facile qu’en France : on le voit s’inscrire dans des prépas, passer des nuits blanches à bûcher, etc... (Poukram, heureusement que j’ai fais et finie mes études en France moi !! ^_^). Les différents personnages de l’histoire sont aussi obligés de se trouver des Baïtos (de l’allemand arbeit qui signifie travail) qui sont des jobs pour étudiant, rémunérés, et qui permettent à ceux-ci de soutenir le train de vie excessivement élevé du Japon. Une deuxième lecture de la série pourrait mettre en évidence des éléments plus symboliques… (Qu’ils soient ou non volontaire de la part de l’auteur).

Malgré cela, ça reste un manga que je qualifierai avant tout pour adolescents qui raconte l'éternelle histoire du jeune garçon timide qui accède au bonheur avec la fille inaccessible de ses rêves (Impression de déjà-vu ?), mais bon apparemment c’est le genre qui veut ça et dans le genre ce manga ne se défend pas trop mal.

Au final une série sympathique, assez gentillette et fraîchement conçue, qui ravira certainement les fans (masculins et féminin) du genre malgré le côté répétitif de l’intrigue et la légèreté du propos. L’histoire affiche parfois une certaine peine à rebondir et s’égare assez régulièrement dans des considérations mineures peu intéressantes (ce qui peut en rebuter plus d’un), mais promet un certain nombre de bons moments, grâce à un rendu des personnages somme toute attachants bien que très profondément typés. Etant une adulescente qui adore se faire plaisir, j’ai passé un moment agréable à lire ce manga…

Dessin 16,5/20
Scénario 14/20
Intérêt 15/20
Fun 15,5/20
Global 15/20

Maintenant je sais à quoi ressemble le caractère de Naru, et je commence à maîtriser le Naru Fulguro Tekken Punch qui semble être légendaire et redouté dans les contrées lointaines de Scans World !! (Firion c’est un peu mon Keitaro à moi maintenant Poukram ^_^).


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leolio
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 1 Avr à 21:44

affraid ouaaaaaaaah ! affraid
elle s'y remet ! gloups !
( pourvu que kry ne m ordonne pas de le lire ! )
lol!
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vash
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 1 Avr à 21:51

alors la baleze tu devrais ecrire un bouquin tu sait!

sérieusement on va finir par te recruter dans la team pour ecrire les resumer ou alors crées des dossier en fonction de ce que tu lis
enfin pour l'instant on est plutot sur la construction du site qu'autre chose!

par contre si tu veux je peux te crée une rubrique pour tes critique qui sont facile a lire et intéréssante!

thumleft
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 1 Avr à 22:18

Merci ^_^

Mais mon rayon reste la BD où Firion et moi avons écrit quelques dossiers de ce genre pour les journaux universitaire du campus... depuis pas mal de temps.
Le manga n'est pas encore ma spécialitée... je tâtonne encore mais demande à Firion car la critique de Love Hina est basée sur ses notes, je n'ai fais que la mettre à ma sauce... Poukram!!

Mais merçi de l'offre Vash je verrais ca pour plus tard

leolio a écrit:
ouaaaaaaaah !
elle s'y remet ! gloups !
( pourvu que kry ne m ordonne pas de le lire ! )


Non cette fois c'est moi qui te le demande gentillement...please... pour me faire plaisir Poukram ^_^ I love you


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Firion
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 1 Avr à 23:50

Navis a écrit:
Je tiens à préciser que cette critique est réalisée en collaboration avec Firion (ou plutôt basée et largement inspirée de ses notes sur la série) pour de nombreux éléments

Moi c'est ce que j'appelle un bon plagiat ma p'tite Shit Shit ...non je rigole t'as toujours autant de talent Wink
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyDim 3 Avr à 14:45

juste pour faire plus court, ce manga est génial. J ai tout lu d'un coup tellement j etais dedans Laughing
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyDim 3 Avr à 15:46

affraid affraid Houla ! J'ai pas encore lu mais je vais m'y mettre sauf si empêchement imprevu Mr. Green !

A quelqu'un sonne je lirais ça plus tard, mais j'y pense, demain je pars en voyage scolaire pendant trois jours, d'ici là j'orais surement oublié !

Bon serieusement je vais essayer de le lire ce soir ou cet apremme ! Personnellement je n'ai lu que le premier volume de Love Hina, donc je ne peux pas trop donné mon avis par rapport à un tome...
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyMar 5 Avr à 10:31

Moi je dis bravo, pour quelqu'un qui n'a pas l'habitude de lire des mangas c'est très bien fait bien écrit, après j'ai survolé dc je peus pas non plus faire de critiques trop précise.

Je crois juste que tu as oublié de parler de la destinée qui est au coeur de ce manga et dc de tt ce qui en découle, annexe sacrée, anneau représentatif, promesse...

Ms a part ça, c'est très bien.

thumright
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyMar 5 Avr à 19:40

hé Hé , clui là j'l'ai lu et même que j'ai rigolé à m'en tordre la machoires par overdoz de zygomatismophilie aigüe avec perte de notion du temps agravé tellement c'était bon tout ça....j'ai beaaucoup moins aimé l'anime mais c'est vrai qu'on ne peut pas comparer les deux formes d'xpressions!
En tous les cas j'aime bien le dossier Very Happy
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyMer 6 Avr à 22:01

Ouah !!! trop long pas envie de tout lire vu que j'ai lu la série mais j'ai pas eu le courage de la finir parce que vers la fin ça m'a vraiment ennuyé, je sais pas pour les autres mais bon au début c'es trop bien et ensuite un peu lassant .

N'empèche que c'est fort d'écrire tout ça, il a fallu combien de temps pour tout écrire ?
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Navis
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyJeu 7 Avr à 15:23

Merci à tous !! ^_^

Oui je sais que ca peut paraître long, mais c'est à peu près la taille qu'on nous demandait pour chaque dossier dans les mags du campus... (Poukram!! Ca pesait pas lourd dedans, à peine une colonne et demie... ^_^).
Celui là je l'ai fait plus rapidement que le premier, entre deux parties de ping pong et de bad... 4-5h contre 10h pour le premier... (Firion quand à lui ca peut se compter en soirs pour le même article dwarf )

Citation :
Je crois juste que tu as oublié de parler de la destinée qui est au coeur de ce manga et dc de tt ce qui en découle, annexe sacrée, anneau représentatif, promesse...
C'est vrai que j'ai oubliée de parler de ces aspects... J'espère que je ne vais pas trop me faire taper sur les doigts... cat
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leolio
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyJeu 7 Avr à 20:22

et ben la prochaine fois tu mettra 2h 3h !
mais ya pas que les heure passé dessus a racourcir Mr.Red
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyJeu 7 Avr à 20:45

léolio se n'est pas la longueur du texte qui est genant mais la facilité a le lire alors essaye de ne pas depasser les 2 3 post pour un dossier stp!
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The Sorrow
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 8 Avr à 13:57

Pourkram c'est quoi au fait ? O_o"

Passons : A noter, je possèdes cette série en dvd - OAV inclus - & en manga. (oui, un jour vous aurez les photos de la mangathèque, c'est joli en étagère ^_^). J'ai dû la lire une dizaine de fois, et la regarder peut-être 5 fois en entier.

L'hsitoire est volontairement décalée, les volumes sont l'idéal pour se remettre le moral d'appoint. Comme se passer Amélie Poulain un jour de déprime !

Je suis totalement d'accord sur l'aspect "maison de poupée" adopté par Akamatsu. Le scénar' était improvisé, au fur et à mesure de la publication dans Shonen. Cela a sans doute joué pour les premiers volumes.

Encore d'accord sur l'humour lourd, et les derniers volumes qui tournent en rond. Mais ça reste agréable.

Les dvd maintenant : L'édition que j'ai est une Fx VO (éditeur US) : Peu de bonus (en fait les firlmographie, quelques interviews, quleques karaokés cachés) mais un son très bon et une image irréprochable. La série est compressée, et s'arrête en gros un peu avant le Tome 8 papier.

Les passages avec Kanako sont dans une OAV courtes en 3 parties, plus osées que la série (très soft), et dont le dessin est différent, car l'équipe était mixte, et pour "fêter" la fin de la série animé et papier, ce sont des membres des deux équipes qui s'occupèrent du boulot. Le style est donc très proche du papier (ça contraste avec le reste de l'animé en dvd, les dessins sont plus carrés, Les expressions plus proches du papier, la scènes du baiser, C/C de la version papier, etc...). En revanche, niveau scénar', c'est du grand n'importe quoi. Ces OAV couvrent les Volumes 8 à 12 ( Les 13 & 14 n'étant pas traités en animé).

Autre invraissemblance relevée dans le manga papier, quand j'y repense : Shinobu est au collège quand le manga démarre, et à la fin, elle est en deuxième année ? O_-" ! Elle a donc sauté deux ans de scolarité pour y arriver (Si on se situe dans la chronologie du premier manag, à la fin, elle est dans l'année de sa préparation au concours ; l'auteur s'est planté là-dessus). Hors, au Japon, sauter une année scolaire est impossible, même pour les surdoués !

C'est un détail parmi d'autres... Série un peu brouillon, mais qui fait passer un bon moment.

Tiens vais m'y mettre un peu ce week-end... Qu'on me laisse CH, Cat's Eyes, I's et DNA², chasse gardée Wink !
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sagara-kun

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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 8 Avr à 13:59

Citation :
Dessin 16,5/20
Scénario 14/20
Intérêt 15/20
Fun 15,5/20
Global 15/20

je suis d'accord avec tout sauf avec sa ...
c'est grai, le dessin, 16.5, okay, j'aurait mis un peu plus, masi c'est pas le blem !

par contre sénario ???14 ?????
Moi, j'aurait mis 4 !
d'ou tu vois un sénario dasn love hina ^^ c'est toujours pareil ^^
c'est vrai, en plus, le but de l'oeuvre n'est pas d'avoir un sénario, c'est juste de faire rire ! on suis juste les personnages en rigolant, sans qu'il y ai d'intrigue ...
Donc bon, jpense que ya même pas de sénario...
je mettrai -/20

par contre, j'aurait mis 18 en interet et 20 en fun !

car, c'est mon premeir manga, et j'adore !
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptyVen 8 Avr à 14:14

Ok the sorrow on te laisse ceux de ta liste mais je tiens à te prevenir que Nävis a déjà commencée la critique de DNA² et comme elle est pas de bonne humeur en ce moment... g craint le pire pour son papier Shit Shit

Mais en tout cas tout le monde est invité pour donner un avis critique ou non dans cette rubrique Very Happy (si possible autre chose que des "C cool" ou "g pas aimé" à la barbare lol). Essayer un peu de developper, pas autant que nous mais un p'tit peu ce serait sympa Wink
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Navis
Dôki
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Navis


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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina EmptySam 9 Avr à 0:39

Il est vrai que j'ai été trop sympa pour le scénario (période euphorique de ma vie? Rolling Eyes ) et j'ai envie de le descendre à 12-13...

NB: dans ma notation en général je mets au minimun 10 (même si ca les vaut pas) pour le travail fournis par les auteurs, dessinateurs... mais si c'est plus du foutage de gueule qu'autre chose vis à vis des lecteurs, alors je descends automatiquement à 6-8 mais c'est rare...(POUKRAM!!! >_<)

Pour love Hina je ne vois pas totalement les choses comme ça comme il y a un minimum ds les scénario secondaire, d'où ma note!! ^_^
Chacun est libre de se faire sa propre idée, mais j'essaye de ne donner qu'un simple avis
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MessageSujet: Re: Love Hina   Love Hina Empty

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